Mia Stonefield

please, don't break my heart.

○ nom : stonefield ○ prénom : mia, emilie ○ âge : trente-deux yo ○ date et lieu de naissance : 31 janvier 1984, à Youghal en Irlande. ○ vos origines : mia possède des origines américaines mais également irlandaises. américaine du côté de sa mère et irlandaise du côté de son père.   ○ métier : fleuriste, un métier qui lui correspond malgré le fait qu'elle espère un jour ouvrir sa propre boutique. pour le moment, elle se contente d'être une employée. ○ orientation sexuelle : elle est hétérosexuelle, elle aime les hommes et uniquement les hommes. ○ statut matrimonial : elle couche avec un homme marié mais se considère toujours célibataire jusqu'à ce qu'il ne quitte sa femme. comble de la malchance, celui-ci se trouve être son patron. ○ côté financier : disons qu'elle n'est ni riche, ni pauvre. son métier est plus une passion qu'un moyen de gagner de l'argent. ○ les crédits : hepburns (avatar magnifique) + fuckyeahemiliaclarke (gif).

un peu plus sur toi

○ mia, c'est une vraie optimiste. elle est née dans une famille remplie d'amour, de joie, autant dire que ce n'est pas bien compliqué. il y a six mois à la mort de son frère, elle a cru perdre cette optimisme qui la caractérise. aujourd'hui, elle essaye de se relever avec le sourire et vivre en la mémoire de son frère jumeau qu'elle aimait plus que tout. ○ naïve, elle sait bien que le monde n'est ni beau, ni gentil mais elle essaye de se convaincre du contraire. elle veut croire que le monde peut être magnifique, qu'il peut être merveilleux et que les hommes peuvent faire en sorte que leur vie soit belle. pour elle, il suffit d'y croire et peut-être qu'avec un peu de chance ça se montrera vrai.  ○ généreuse, elle donne sans cesse sans même espérer recevoir quelque chose en échange. ce trait de caractère fait qu'elle a toujours été appréciée de tous sans exception. bien-sûr, parfois elle se montre égoïste comme tout le monde (notamment quand elle couche avec des hommes mariés) mais elle essaye de faire en sorte de se montrer la plus présente possible vis à vis des gens qu'elle aime. ○ elle est jalouse. oh, tout le monde n'est pas parfait et malgré le fait que la jalousie est un vilain défaut, il n'empêche qu'elle déteste qu'on touche à ce qu'elle estime être ' à elle '. ○ souriante, il faut bien ça lorsqu'on réalise son métier. elle a toujours adoré les fleurs, elle pense sincèrement que le fait d'offrir une fleur à quelqu'un suffit à ce qu'il soit heureux ne serait-ce que quelques minutes. comme je le disais, ce trait de caractère coïncide parfaitement avec sa naïveté.
(01.) malgré ce qu'elle peut dire à tout le monde, elle souffre toujours de la perte de son frère jumeau. elle était très proche de lui, elle le voyait pratiquement tous les jours et fréquentait la même bande d'amis, c'est donc difficile de réussir à faire son deuil en six mois. elle essaye de vivre pour lui au maximum, elle pense qu'il n'aurait pas aimer la voir se morfondre sur elle-même toute la journée. elle fait donc ce qu'elle sait faire de mieux : réconforter les autres en espérant se soigner elle-même par la même occasion.
(02.) elle ne l'a jamais dit à personne, mais mia refuse de pleurer depuis la mort de noah. non, elle n'a jamais pleuré celui-ci car elle a peur de ne jamais réussir à s'arrêter si jamais elle ouvre les vannes. elle a de la peine, parfois elle menace de fondre en larme mais dans ces moments-là elle pense toujours à autre chose afin de ne pas craquer.
(03.) mia couche avec un homme marié qui se trouve également être son patron. bien-sûr elle a honte, elle qui n'a jamais rien fait de mal dans sa vie sauf quelques bêtises d'adolescente. cependant, mia n'arrive pas à arrêter de voir celui-ci mais elle souffre également du fait qu'il refuse de quitter sa femme. depuis le début de leur 'relation', mia crie haut et fort qu'elle est toujours célibataire. elle ne veut pas se dire en couple car elle a peur de tomber de haut le jour où son amant préférera arrêter leur relation pour rester avec sa femme.

Depuis combien de temps es-tu à Youghal et que penses tu de cette ville ? ○ j'habitude à youghal depuis maintenant plus de trente-deux ans. oui, comme j'ai dis, trente-deux ans. je suis donc née à youghal et j'ai grandi dans cette charmante ville d'irlande dont je connais absolument tout d'elle. je connais les coins à visiter et ceux qui, au contraire, ne sont vraiment pas à voir. j'aime youghal, malgré les différences extrêmes de température entre l'été et l'hiver, malgré l'humidité qu'il peut y avoir et plus que tout, malgré les enlèvements qu'il a pu y avoir dans cette ville qui jusqu'à présent était assez tranquille. bizarrement, je me sens en sécurité ici et j'ai réellement la sensation d'être chez moi lorsque je parcours les rues enneigées ou le bord de mer l'été.  

Quelle est votre position vis à vis des enlèvements ayant eu lieu avant les années 2 000 ? ○ je trouve ça terrible ce qu'il a pu se passer avant les années 2000. je pense sincèrement que ces enlèvements ont traumatisé de nombreuses familles et continue à traumatiser des personnes qui osent difficilement sortir de chez eux. heureusement, je ne connais personne personnellement qui a pu vivre cet enlèvement mais je sais que certaines familles qui passent au magasin ont des proches qui étaient retenus par ce fou furieux. généralement, quand je croise ces personnes-là, je ne sais pas trop quelle attitude adopter avec eux : est-ce qu'on est censé les regarder avec de grands yeux tristes ? je ne pense pas. est-ce qu'on est censé faire comme si rien était ? je pense pas. finalement, il n'y a pas vraiment d'attitude à avoir avec eux.. et ce qu'il s'est passé continue pourtant à traumatisé certaines familles des années après l'acte.

Où est-ce que tu te vois dans le futur ? ○ bien-sûr que j'ai envie de retourner dans le passé. il faut dire que si je le pouvais, j'aurai demandé à noah de ne pas prendre la voiture ce soir-là. j'aurai demandé à noah de prendre un taxi, ou de rester à la maison afin de passer une soirée tranquille devant un bon film plutôt que de prendre cette stupide voiture. malheureusement, on ne peut pas refaire le passé, c'est impossible. je n'accepterai jamais ce qui a pu arriver à mon frère, mon jumeau, mon double. malgré-tout, je sais qu'il faut que je continue à vivre pour lui, en son honneur. alors j'avance, j'avance et j'essaye d'aider mon entourage à avancer aussi.  

derrière l'écran

ton pseudo : othscottlove ○ âge : 19 yo ○ pays : france ○ fréquence de connexion : ?/7j ○ comment t'es arrivé ici ? : grâce à un partenariat ○ un commentaire ? : le forum est juste magnifique, j'adore    ○ ton personnage : [] inventé [-] scénario [] pv

votre histoire

please don't break my heart.

Un camion de déménagement semble se faire entendre de l'autre côté de la rue. Intriguée, une petite fille de huit ans regarde à travers la fenêtre pour savoir ce qu'il se passe. Trop petite, elle doit attraper une chaise afin de grimper dessus. Son frère se moque souvent de sa petite taille, mais sa mère lui a souvent dit que ‘tout ce qui est petit, est mignon' donc elle se fiche totalement de son avis. Arrivé en haut de la chaise, elle possède une vue complète sur la maison d'en face. Oui, un camion de déménagement se faisait bien entendre. Ce n'est pas très étonnant, les voisins d'en face ont déménagé il y a plus de trois mois pour partir aux Etats-Unis. Descendant rapidement de la chaise, la jolie brune court rapidement en dehors de sa chambre pour pénétrer dans celle d'en face, celle de son frère jumeau. Noah est tranquillement installé sur son lit, lisant un livre sans intérêt sans même relever la tête à la venue de sa sœur. Mia grimpe sur le lit et secoue rapidement son frère afin de lui faire lever les yeux de son bouquin.
« Noah, Noah, eh Noah ! » La petite fille continue à agiter son frère dans tous les sens pour pouvoir l'agacer définitivement. « Raah, arrêtes Mia, laisse-moi tranquille » souffle Noah sans pour autant lever les yeux de son livre « Mais Noah, il faut absolument que je te dise quelque chose » Enfin, son frère daigne relever le regard pour plonger ses yeux dans ceux parfaitement identiques de sa sœur. « Qu'est-ce qui se passe ? » Ses mots décrochent un grand sourire à la petite fille qui a enfin réussi à avoir l'attention de son frère. Depuis quelques temps, son frère n'arrête pas de l'embêter et ne veut plus l'écouter. Lui, il dit que c'est parce que c'est une fille et que les garçons à l'école restent entre eux et non pas avec des filles. Les filles selon lui, sont débiles. Mia pense qu'il est jaloux, mais il n'empêche que ça reste son frère et que celui-ci est très important pour elle. « On a de nouveaux voisins ». Son frère ferme son bouquin et fronce les sourcils tout en gardant son regard ancré dans celui de Mia. « Et c'est tout ? Tu m'as dérangé juste pour ça ? » Mia soupire. « Mais enfin, Noah, les nouveaux voisins ont un fils de notre âge. C'est sympa non ? Maman dit qu'il faut qu'on se fasse de nouveaux amis ». Pesant le pour et le contre, Noah finit par se lever de son lit et cavaler pour descendre les escaliers et sortir de la maison afin d'accueillir le nouveau voisin, sa sœur au pas de course juste derrière lui.


Le couloir semble être interminable. Jamais elle n'aurait pu penser un jour devoir traverser ce couloir pour apprendre la pire nouvelle de toute sa vie. Si elle avait su, jamais elle n'aurait laissé Noah quitter la maison. Bizarrement, elle n'a rien ressentie, aucune intuition, rien. Elle ne peut pas s'imaginer que ce soir-là, avant qu'il sorte, elle voit son sourire pour la dernière fois. Elle n'a pas envie de sortir ce soir-là. Généralement, elle est dehors pour faire la fête, mais elle venait de passer une longue journée et n'avait qu'une envie, c'était se mettre devant un film totalement niais et manger une pizza ou même un bon Mcdo. Noah a proposé à Mia de sortir avec eux, mais elle préfère décliner leur offre afin de les laisser en 'amoureux'. Grosse erreur. Elle pensait sincèrement que si jamais il arrivait un jour du mal à son jumeau, elle le ressentirait tout de suite. Pourtant, rien. Elle mange tranquillement devant la télévision sans même regarder une dernière fois son frère qui est parfaitement apprêté. Elle le voit partir et elle ne le retient pas. Pourquoi le ferait-elle ? Elle n'a pas envie de le retenir, elle veut qu'il s'amuse, qu'il profite un peu de la vie. Visiblement, ce ne fut pas le cas. En plein milieu du film, elle reçoit un appel de la part de ses parents. Visiblement, sa mère est paniquée étant donné qu'elle pleure et n'arrive pas à aligner deux mots de manière cohérente. Mia panique, elle comprend que quelque chose ne va pas. Puis, la sentence tombe. Son frère a eu un accident, il faut qu'elle vienne de suite. Mia éteint rapidement la télévision et court dans la chambre pour s'habiller. Jogging, tee-shirt basique, qu'importe ce qu'elle peut porter étant donné que la vie de son frère est en jeu. En passant par le salon, elle récupère son téléphone afin d'appeler un taxi qu'elle attend pour se rendre à l'hôpital. Elle ne peut pas conduire, elle sait qu'elle en ai incapable. Sur le chemin, elle envoie un message à Erwan ‘Erwan, Noah a eu un accident. Rejoins-nous à l'hôpital, c'est très important. Préviens tout le monde'. Mia aurait pu prévenir Yuna en premier, après tout elle est relativement proche de la jeune femme qu'elle considère littéralement comme une sœur. Malgré-tout, Erwan est le premier du groupe qu'ils ont rencontré et celui qui connait le plus Noah avec elle. Donc, elle décide de le prévenir en premier et elle sait que celui-ci n'hésitera pas à avertir les autres ensuite. Sur le chemin, elle pleure, elle craque. Elle s'inquiète pour son frère et se sent coupable de ne pas l'avoir retenu. Pourquoi est-ce qu'elle n'a rien ressenti ? Elle a lu des dizaines d'articles sur les jumeaux et surtout sur le lien qu'ils peuvent avoir entre eux. Mais elle, elle n'a même pas été capable de ressentir que son frère était en danger. Devant les portes de l'hôpital, Mia paye le taxi et ne sait même pas combien d'argent elle peut donner. Elle court dans les couloirs et se moque parfaitement de savoir si elle a le droit ou non de déranger tout le monde sur son passage. Arrivé dans une salle d'attente, elle plonge dans les bras de son père qui se trouve sur une des chaises alors que sa mère fait les cent pas debout. Elle pleure pour la dernière fois sans même le savoir. Elle s'installe sur une chaise et attend. Elle attend un médecin, un ami, Erwan. Elle ne sait pas trop ce qu'elle attend mais elle sait qu'elle ne peut rien faire d'autre. Finalement, au bout d'une durée indéterminée le médecin débarque dans la salle d'attente avec un visage fermé. Il explique que Noah est parti, qu'il est mort, qu'il les a quittés. Ses parents fondent en larmes sans même prendre la peine de poser des questions au médecin mais Mia, elle, ose plonger son regard dans celui du chirurgien. Quand elle plonge ses yeux dans les siens, elle sait que c'est inévitable, que son frère est définitivement parti. Elle écoute ses parents pleurer alors que son regard se perd dans le vide.


L'enterrement a eu lieu il y a maintenant six mois. Mia essaye de reprendre goût à la vie et elle travaille toujours en tant que fleuriste. Elle réussit à vivre de nouveau, ou du moins survivre correctement. Elle n'a plus jamais pleuré depuis ce soir-là et chaque jour qui passe, elle se fait la promesse de vivre pleinement pour son frère. Elle essaye de sourire, de rire mais surtout de remonter le moral de ses proches. Cette dernière partie est sûrement la plus difficile. Elle est au magasin cette après-midi là lorsqu'elle reçoit le message de Yuna ‘Vas voir Erwan s'il te plaît, il a besoin de toi.' Mia fronce les sourcils mais n'hésite pas une seconde. Elle demande à son patron (et amant) de lui laisser son après-midi de libre. Celui-ci accepte (après tout, pourquoi refuser ?) et la laisse partir en direction de l'appartement d'Erwan. Depuis l'enterrement, Erwan se laisse aller de plus en plus et se noie dans sa dépression. Mia a longtemps essayé de l'en faire sortir, pendant quatre mois plus exactement mais elle n'arrive plus à le voir sans cet état. Elle a perdu son frère, mais elle a également perdu son ami au même moment. Erwan n'est plus que l'ombre de lui-même et ça lui fait mal de le voir comme ça. Alors elle fait ce qu'elle sait faire de mieux : elle le bouge, le critique, l'agresse. Finalement, elle essaye juste de le faire réagir. Lorsqu'elle pénètre dans son appartement, une forte odeur d'alcool se dégage un peu partout. Visiblement, Erwan n'est pas sorti depuis plusieurs jours et cela se ressent. Elle le cherche du regard et le retrouve sur le canapé, ivre mort. Elle s'approche doucement et dépose deux doigts sur sa carotide en espérant le sentir bouger. Parfois, elle pense que celui-ci veut se laisser mourir et d'autres fois, elle pense qu'il est tout simplement trop égoïste. Il devrait normalement s'en sortir, essayer de vivre plutôt que se morfondre sur son misérable sort. Quand elle est sûre qu'il respire et que son rythme cardiaque est régulier, elle comprend qu'il dort. Elle soupire, ne sait pas vraiment quoi faire. Yuna lui a demandé de passer, elle passe. Malheureusement, elle sait qu'elle n'arrivera pas à le faire changer. Lui seul peut réussir. Au bout de quelques minutes, elle dépose sa main glacée sur le front du dépressif. Il n'a pas de fièvre, il semble en forme ou du moins physiquement. Puis elle approche son visage, elle sent de plus en plus l'odeur d'alcool mais il n'empêche qu'elle s'approche quand même. Lorsqu'elle se trouve à quelques centimètres de lui, elle ose déposer un baiser sur sa joue. Malgré le fait qu'elle ne lui parle plus, elle ne peut pas s'empêcher de vouloir veiller sur lui. Après tout, maintenant à part Erwan et Yuna, elle n'a plus personne. Elle laisse ses lèvres quelques secondes sur la joue rugueuse puis elle se redresse. Elle nettoie un minimum l'appartement puis s'apprête à repartir. Lorsqu'elle pose la main sur la poignet, elle se retourne quelques instants. « Tu me manques, Erwan. » Puis elle sort, claque doucement la porte et retourne au travail pour se changer les idées.

« Bébé, tu sais où j'ai mis mon caleçon ? » Cette phrase serait anodine pour n'importe qui, mais pas pour Mia. Depuis maintenant deux ans, elle entretient une relation avec son patron et elle commence à saturer. Elle lui a demandé plusieurs fois de quitter sa femme mais il ne cesse de trouver des excuses plus grosses les unes que les autres et elle se rend bien compte qu'il ne quittera pas celle-ci. Donc lorsqu'elle entend cette phrase, elle ne peut pas s'empêcher de penser qu'il y a une femme en ville qui attend bien sagement son mari le soir qui s'amuse à s'envoyer en l'air avec l'une des employées. Lorsqu'elle a demandé la semaine dernière à Mark ce que représente réellement leur relation, celui-ci lui affirme l'aimer et vouloir être avec elle. Pourtant, elle ne peut pas s'empêcher de se dire que Noah ne serait pas fier d'elle. Ce n'est pas elle ça, elle ne couche pas avec des hommes mariés. Depuis la mort de Noah, elle essaye de reprendre sa vie d'avant, mais elle se rend bien compte qu'elle a encore beaucoup de chemin à parcourir. Alors, elle refuse de s'attacher à Mark car elle sait qu'il peut éventuellement partir, comme a pu le faire Noah. Elle refuse de se dire en couple malgré les nombreux dires de son amant et clame donc toujours haut et fort qu'elle est célibataire.« M'hh, oui, il est sous la table où sont disposées les orchidées il me semble. » Ils ont encore couché ensemble sur le lieu de leur boulot. Elle sait qu'un jour ils se feront prendre, c'est pas terrible de s'envoyer en l'air en plein milieu du travail dans la serre à l'abris des regards. Seulement, Mia sait que Mark peut éventuellement être l'homme qui lui ferait oublier sa douleur et retrouver sa joie de vivre. Peu à peu, elle se sent comme avant et espère pouvoir retrouver totalement cette sensation. Lorsque Mark dépose ses mains sur les hanches de la belle brune, celle-ci sort de ses pensées. « Est-ce que tout va bien ? » Celle-ci se retourne complètement vers Mark tout en disposant ses bras autour du cou de l'adulte. Elle plonge ses yeux dans les siens et dépose un baiser sur ses lèvres. « Oui, ça va. Je vais bien, tout va bien. » du moins, je l'espère lui souffle une voix intérieure.